LA LOUTRE
DE RETOUR DANS NOTRE PLAT PAYS
Absente de nos régions depuis des décennies, longtemps chassée pour sa fourrure, la loutre amorce depuis quelques années un timide retour en Belgique. La présence de cette espèce hautement bénéfique pour la biodiversité reste néanmoins fragile.
Bien qu’officiellement protégée, la loutre est en danger critique d’extinction en Belgique.
Ensemble, protégeons-la.
15 € / mois
soit 8,25 € / mois après déduction fiscale
Vous contribuez à l’achat d’un piège photographique, qui permet une mission d’étude de la loutre sur plusieurs années.
25 € / mois
soit 15 € / mois après déduction fiscale
Vous contribuez à la construction et l’entretien de quatre « loutroducs » et la restauration des berges dans la Vallée de la Semois.
Dégradation de l’habitat
les loutres évitent de nager sous les ponts ; elles courent malheureusement un grand risque de se faire écraser à chaque fois qu’elles traversent une route.
les zones humides boisées, qui constituent l’habitat de la loutre, ont été dégradées à cause de la pollution et du bétonnage des berges.
Trafic routier
Manque de proies
à cause de la pollution, les populations de poissons qui constituent la nourriture principale de la loutre ont dramatiquement décliné en Belgique.
IL NE RESTE QU’UNE CINQUANTAINE DE LOUTRES EN BELGIQUE.
POURQUOI LA LOUTRE EST-ELLE EN DANGER ?
Par du monitoring
La loutre est un animal très discret, dont l'observation directe est rare. Pour étudier sa présence, le programme de monitoring comprend le placement de caméras de surveillance, la recherche d'empreintes ou d'excréments (« épreintes »), ou encore l'analyse ADN des loutres qui subsiste dans l’eau après son passage. Ces études permettent d’en savoir plus sur la loutre dans notre pays.
Par la création de loutroducs
Le loutroduc est un passage à faune sous un pont ; une sorte de berge artificielle qui permet notamment à la loutre de circuler en toute sécurité. En effet, il semblerait que les ponts dépourvus de berges constituent un tunnel sombre que l’espèce préfère éviter en traversant la route... avec les risques de collision que cela comporte.
Par la restauration de berges et de frayères
La ripisylve est la végétation que l’on retrouve sur les berges des cours d’eau. Pour fournir plus d’abris à la loutre, la ripisylve est restaurée le long des berges, soit en plantant des buissons, soit en enlevant des espèces végétales exotiques envahissantes. Les frayères sont de véritables réservoirs de biodiversité. Elles servent de lieux de reproduction pour de nombreuses espèces de poissons et de batraciens, proies de choix pour la loutre. La restauration des frayères permet donc de participer à l'équilibre de l'écosystème.
Avec votre soutien, nous pouvons les protéger.
Comment ?
Saviez-vous que... votre don est déductible fiscalement à hauteur de 45 % à partir de 40 €/an.
Une raison de plus pour aider la loutre aujourd’hui !
Vous jouez un rôle essentiel pour l’avenir de cette espèce.
Adoptez-la symboliquement.